Rapa nui, maté exotique, sachets individuels

Loin de la splendeur enchantée des Galapagos ou des îles marquises, Rapa nui « nombril de la terre », se souvient des palmiers géants qui foisonnaient jadis sur son sol. De leur tronc coulait un nectar couleur de miel que les premiers habitants sublimaient en boisson de plaisir.

Mémoire d’une société heureuse, probablement insouciante, aujourd'hui évanouie.

Les alizés du pacifique murmurent leur histoire aux oreilles des Moaïs, ces géants de pierre aveugles de cette "île de Pâques".

Mais la tête tournée vers les étoiles, ceux-ci restent muets sur ce peuple fantôme.

Des gravures rupestres disséminés çà et là, au déchiffrement impossible n'aident en rien sur cette incertitude.

Les énigmes hantent les esprits curieux, l’île sommeille, préservant ses secrets et reste un joyau de mystère au cœur d’un océan de doute.

« Rapa nui est le nom donné par les indigènes à l’île de Pâques et, rien que dans les consonances de ce mot, il y a, me semble-t-il, du mystère et de la nuit. Nuit des temps, nuit des origines ou nuit du ciel, on ne sait trop de quelle obscurité il s’agit » (Pierre Loti).